Tout près du Nice-Savoie, au nord-est pour l’un, au sud-ouest pour l’autre, il y a deux jardins intéressants. Le premier est devant une villa, il est tout en hauteur sur la clôture, il s’offre à contre-jour. On y voit des roses pâles à l’ancienne, du chèvrefeuille, des clématites, du polygonum, etc. Le second s’étend dans l’angle de deux rues, il est simplement plat et uniformément ensoleillé. Les fleurs s’y touchent toutes, des marguerites, des delphiniums, des œillets, etc. Un philosophe y verrait les figures du transcendantal et de l’immanent…