Jeudi 27 mars 2008, 19h30. De l’autocar de presse qui va partir du Châtelet pour Vitry, le MacVal, le vernissage de la rétrospective de Claude Closky. Il faut avoir son nom sur la liste mais on passe à travers. Dans l’autobus du retour, allant jusqu’à la Porte de Choisy, il y aura une armée de contrôleurs et de « policiers » Ratp. Là les contrôles seront strictement au faciès. Et pourtant les billets n’étaient pas trois zones.
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Dimanche 13 janvier 2008, 15h, Cité de l’Architecture et du patrimoine, Palais de Chaillot, Paris, 16e. Dans la cafétéria, une grande table avec 8 écrans tactiles sur des bras articulés. Pour une fois, ça marche très bien. Impressionnantes, les suspensions de Ingo Maurer, XXL Dome.
L’endroit où il fallait être le 30 décembre 2007 (ici à 14h46). Dans l’« art contemporain », il y a des « lieux », et il faut les « investir ». Le coût des travaux est estimé à 102 millions d’euros, financés majoritairement par la Ville de Paris, avec le soutien de la Région Île-de-France. Une image comparable fait l’affiche des vœux du maire de Paris. Remarquer la conjonction des cercles et des demi-cercles. Voir aussi, à 78,6 millions d’euros: Gaîté.
L’endroit où il fallait être le mercredi 19 décembre 2007 à midi. En vedette américaine : Manuelle Gautrand, architecte. Achèvement des travaux de la Gaîté lyrique : fin 2009. Coût du chantier : 78,6 millions d’Euros.
Extrait de l’intervention de Christophe Girard devant la presse.
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Escalier intérieur du Tokyo Metropolitan Museum of Photography, à Ebisu, le jeudi 13 décembre 2007 vers midi. Là pour voir la grande rétrospective de Shomei Tomatsu (1930-), dont on avait publié, en couverture de La Recherche photographique N°6 (juin 1989), la montre arrêtée à 11h 02 le 9 août 1945 à Nagasaki (1961).
Yokohama, samedi matin 8 décembre 2007. Les feuilles des ginkgos (arbres aux mille écus) ont commencé à tomber.
Dans l’exposition du Pocket Films Festival Japan à la Graduate School of Film and New Media de la Tokyo National University of Fine Arts and Music à Yokohama, les téléphones (portables) Sharp-SoftBank sont vissés sur les tables.
L’alternative à la projection sur grand écran des films de téléphones portables, c’est donc la consultation à la table.
Le Pocket Films Festival (en relation avec celui de Paris) est organisé à la Graduate School of Film and New Media, Tokyo National University of Fine Arts and Music.
Le grand plateau de l’école a été aménagé en salle de projection de 250 places.
Sur la photo: Masaki Fujihata, Benoit Labourdette, Laurence Hersberg. Jeudi 6 décembre 2007 à 18h.
Le staff étudiant assemble les programmes définitifs qui arrivent de l’imprimerie.
Ai Weiwei, artiste, architecte, designer, né en 1957.
(On a rencontré son père, le poète Ai Qing, à Paris en 1980.)
Un aperçu de ses œuvres, par la galerie Urs Meile.
Ordre et désordre, collisions de mondes, les 1001 chaises Qing disposées en carré ou en cercle, la construction faite de 1001 portes et fenêtres chinoises des dynasties Ming et Qing, abattue par la tempête. Troisième volet de Fairy Tale de Ai Weiwei, l’invitation de 1001 Chinois (l’expérience la plus chère dans l’histoire de la Documenta), n’est pas directement visible; elle le sera par le film tourné par Ai Weiwei et ses assistants, par les dortoirs des invités, par l’installation Travelling Landscape; etc.)
Kassel, Documenta 12, 17 juillet 2007.
Lire une interview de Ai Weiwei (pdf)
© Urs Meile Gallery, Lucerne-Beijing
Gerhard Richter, Betty (La fille du peintre), huile sur bois, 1977.
Kassel, Documenta 12, 17 juillet 2007, 18h15.
Question : Cette façon de croiser les mêches de cheveux, a-t-elle un nom en allemand ?
Rotterdam, Musée Boymans-van Beuningen, 15 mai 2004, 18h30. Maurizio Cattelan, Untitled, 2002, figure de cire. Bernardo Cavallino (Naples 1616-1656), De heilige Catharina van Alexandrië, peinture, 1645-1655. Au mur, retenue à plat dans son cadre vertical; du plancher horizontal, sortant en volume de son trou : une diagonale de regards de plus de trois siècles ?