Lundi 14 septembre, 18h30, Paris, Musée national d’art moderne. Pour cette rentrée je retiens l’un de mes objets favoris, une chaise d’école : Jean Prouvé (1901 – 1984), Chaise de maternelle (n°805), 1951, tôle d’acier pliée et contreplaqué moulé, don de Simone Prouvé 2010, numéro d’inventaire AM 2010-1-191. Elle est encadrée par un poteau aérateur et un panneau en bois lamellé-collé de type Rousseau provenant de l’école provisoire de Villejuif, BEN M 175, 1956-1957.
Voir le livre d’Antonella Tufano, Jean Prouvé designer, Presses universitaires de Nancy, 2014, ici.
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Lundi 14 septembre 2015, 18h18, Centre Pompidou, Paris. Œuvre naturelle présente durant quelques minutes à la verrière nord du 5e étage : arc-en-ciel des brusques pluies de septembre.
Lundi 14 septembre 2015, 18h, Musée national d’art moderne, Paris. La nouvelle présentation des collections modernes (1905 — 1965) retrouve la chronologie et on trouve ça bien. On a évoqué le 18 août le rayon porte-bouteilles du BHV : http://jlggb.net/blog4/?p=3351. Voici l’« original ».
Lundi 14 septembre, 17h30, Musée national d’art moderne, Paris. Exposition Mona Hatoum, Twelve Windows, 2012-2013. Texte du cartel : « Ces douze pièces de broderie palestinienne sont l’œuvre d’Inaash, l’Association pour le développement des camps palestiniens, une ONG libanaise créée en 1969 pour donner du travail aux femmes palestiniennes dans les camps de réfugiés au Liban. Rigoureusement conçus par Malak Husseini Abdulrahim, aboutissement de dizaines d’années de recherche et de création graphiques sur les travaux d’aiguille de Palestine, les panneaux ont été minutieusement brodés par les artisanes expertes d’Inaash, dans le but de préserver un art traditionnel menacé d’extinction par la dispersion des Palestiniens dans la région. L’action de broder devient ici un acte de résistance face aux ruptures causées par l’exil. Chaque “fenêtre” représente, par ses motifs, ses points et ses dessins, une grande région de Palestine. Installés dans un espace traversé en tous sens par des câbles d’acier, les panneaux forment une carte visuelle de la Palestine, une métaphore de son territoire morcelé. »