Vers le blog volume 3 (et contrecoup)

Mercredi 30 novembre 2011. Ce blog va transiter vers son volume 3 : jlggbblog3. Le premier volume est du 1er décembre 2007 au 30 novembre 2009. Le deuxième volume est du 1er décembre 2009 au 30 novembre 2011. Il s’agit seulement de continuer l’habitude prise en essayant de se faire porter par des moments particuliers. Cependant, on changera sans doute plus dans cette nouvelle période. Les blogs sont passés de mode, sauf pour celles et ceux qui continuent à les faire.

La forme changera peu : typographie un peu plus lisible, titres un peu plus gros. Ces modifications tiennent aussi aux changements des logiciels : WordPress et le « thème » (la mise en page automatique) nommé Tarski (« élégant et flexible », américain : http://tarskitheme.com/), choisi en 2007 et que ses auteurs ont eu la bonne idée de maintenir et de perfectionner. D’ailleurs, par contrecoup, la forme change aussi pour jlggbblog2 (et bientôt pour jlggbblog1). C’est une caractéristique des blogs, ils se coulent dans les formes nouvelles comme dans de nouveaux habits.

Dans le volume numéro 1, on ne lit jamais ni « je » ni « moi ». Ce n’est plus vrai dans le volume 2. L’anonymat de départ s’est en partie levé. Mais je continue à ne pas faire de publicité. Je vais essayer d’ouvrir les commentaires. On va voir. Voir : http://jlggb.net/blog3/
JLggB

jlggbblog1 se terminait ainsi : http://jlggb.net/blog/?p=6550

La quinzaine des commentaires est ouverte

Mardi 15 novembre 2011, 0h10. D’ordinaire, les articles de ce blog n’attendent pas de commentaires de la part des lecteurs. Cependant, se profile d’ici quinze jours la possibilité d’ouvrir un troisième volume de cet « album » : jlggbblog3. Le premier volume avait duré deux ans, le second durera deux ans aussi, jusqu’au 30 novembre 2011.

Je sollicite donc vos remarques pour orienter la suite éventuelle de jlggbblog (cliquez sur le titre de cet article pour accéder aux commentaires). JLB

La réplique numérique d’un objet maya


Dimanche 27 novembre 2011, 0h50, chez Manuela de B., Paris 11e. C’est la réplique, obtenue par le biais d’une saisie numérique et d’une prototypeuse, d’un objet maya ancien (probablement), donné à Mathieu Briand (c’est lui qui nous l’explique) par Francis Alys. C’est un sifflet porté en pendentif. Cette figure apparaît dans la sculpture Chasseur de Mathieu Briand, 2010.

Apartamento



Apartamento, numéro 8. Voir : http://www.apartamentomagazine.com.

Vendredi 25 novembre 2011, 16h, galerie Yvon Lambert, rue Vieille-du-Temple, Paris 3e. La revue semestrielle éditée en Espagne (mais en anglais) Apartamento est plutôt à contre-courant des revues de décoration, des design ou d’architecture. On l’aime bien. Extraite du numéro 7, cette citation a valeur de manifeste :
For too many people, being happy at home is pretty much an abstract idea, something they can’t know or imagine, until it appears on some taste maker’s must-have list, or in a magazine, or reposted on Tumblr. A home sweet home is not curated or produced by acquiring a perfect arrangement of chairs, lamps and friends. A real living space is made from living, not decorating. A bored materialist can’t understand that a house has to become a home. It happens, not through perfection but by participation. Andy & Elsa Beach, 
Apartamento issue #07
En réalité, l’appel à la participation est souvent douteux, et puis l’on n’échappe pas à l’effet de prescription et de mode. Ici, cependant, deux indices sympathiques : 1° la petite exposition de dessins de Nathalie du Pasquier (présente dans le numéro 8, automne-hiver 2011-2012), dont on a aimé les motifs pour tissus à l’époque où elle était du groupe Memphis, au début des années 80. Elle est toujours à Milan mais elle est passée du côté de la peinture (http://www.nathaliedupasquier.com/home2.html); 2° la crassula dans la vitrine (en ville, elles sont toujours dans des vitrines), comme partie prenante du décor Apartamento, et comme emblème d’une culture transcontinentale, à la fois plutôt populaire et un peu snob (ce sont des synonymes).

Vernissage


Jeudi 25 novembre 2011, 19h, galerie Sinitude, Paris 3e. Y.X. expose ses peintures (encre sur papier), dont certaines ont trait au peintre Guiseppe Castiglione (1688, Milan – 1766, Pékin), et celle ci : La Voie dans le crottin. Voir ici et ici aussi.