Dans « L’œuvre de Samba (suite) » du 29 janvier 2010, l’intervention du peintre a été mise en évidence. On rapporte aujourd’hui ses propos :
« Moi, c’est uniquement les tags.
C’est tous les jours, tout le temps. »
On méditera donc cette relation dialectique entre la peinture sous forme de tag et la dimension tag d’une peinture qui pourrait être perçue comme réparatrice ou décorative seulement : de la polychromie comme geste et comme signature, comme performance quotidienne (nous disions « au jour le jour »).