Môtiers

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Jeudi 14 juillet 2011, Môtiers, Val-de-Travers, Suisse. John Armleder, From Here to There, installation, 1967, à 11h12 puis à 14h19. Le support des bidons de lait est une reconstitution en bois peint de l’original en fer dont un exemplaire se trouve symétriquement de l’autre côté de la rue.

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Jeudi 14 juillet 2011, 11h40, Môtiers, Val-de-Travers, Suisse. Dans le parcours « Art en plein air », une proposition — toujours bien venue, ironique, décapante, plastique — de Roman Signer : Banc. Spécial Val-de-Travers, pays tranquille : jeu de forces et poids de l’événement, s’attaquer aux bancs publics destinés à la contemplation du paysage.
Voir : « L’éclair dure longtemps », 5 mars 2009, http://jlggb.net/blog/?p=1498.

Roman Signer, au moment de l’action (Photo Motiers 2011).

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Jeudi 14 juillet 2011, 11h30, Môtiers, Val-de-Travers, Suisse. Remontant la Grand Rue (très large) en direction de la cascade, de belles fermes anciennes, quelque chose de remarquable : cette façade de roses.

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Jeudi 14 juillet 2011, 11h30, Môtiers, Val-de-Travers, Suisse. Visiblement à l’abandon depuis quelques années, la maison et son jardin offrent aux passants de belles groseilles (et aussi des cassis).

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The Run


Jeudi 14 juillet 2011, 11h, Môtiers, Val-de-Travers, Suisse. L’un des 69 participants à « Môtiers 2011 — Art en plein air », celui qui m’intéresse le plus et peut-être le plus connu (avec Sylvie Fleury, Roman Signer, John Armleder), Olivier Mosset (1944, Berne) expose The Run, une vidéo-performance, un parcours dans le Jura vers Môtiers d’un groupe d’Angels sur Harley-Davison (dont il est un adepte). L’écran est placé dans la grange, qui est peut-être aussi le garage, de l’une des maisons de la Grand Rue de Môtiers (Il me semble qu’il exposait là une moto, la dernière fois, en 2007).
Sur O.M., voir : 24 mai 2009, « Red Star » http://jlggb.net/blog/?p=3352; 28 novembre 2009, « Au Magasin » http://jlggb.net/blog/?p=6564.
Remarque : la typo du générique est le Cooper Black : obligé quand on traite des USA hippies.

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Jeudi 14 juillet 2011, 11h, Môtiers, Val-de-Travers, Suisse. Sur la Grand Rue, une maison en cours de rénovation complète. Remarquer les volets de largeurs variées, pliants ou non, ils vont être peints en brun.

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Jeudi 14 juillet 2011, 10h50, Môtiers, Val-de-Travers, Suisse. De cette maison et de son surprenant pavillon de thé (mais c’est le côté aristocratique de Môtiers que révéla Rousseau), le mur a été peint en or, pour en souligner l’histoire et l’originalité, par Ana Roldan. Un jeune chat s’occupe de l’animation et de la liaison d’un espace à l’autre.

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Jeudi 14 juillet 2011, 10h40, Môtiers, Val-de-Travers, Suisse. Attenante à la maison de Jean-Jacques Rousseau, au sud, cette maison avec cette grande façade percée de quatre très petites ouvertures.

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Jeudi 14 juillet 2011, 10h30, Môtiers, Val-de-Travers, Suisse. Pour mémoire, la maison (musée) Rousseau que nous avons visitée dès 1992. En 1998, le conservateur, Monsieur François Matthey, nous autorisa à filmer, et donc à toucher, les rubans tissés par Jean-Jacques Rousseau (il parlera de lacets) lors de son séjour (10 juillet 1762, 8 septembre 1765), cités dans les Confessions, Livre douzième (septembre 1762) :

« Une entre autres appellée Isabelle d’Ivernois, fille du Procureur General de Neufchâtel me parut assez estimable pour me lier avec elle d’une amitié particuliére, dont elle ne s’est pas mal trouvée, par les conseils utiles que je lui ai donnés, et par les soins que je lui ai rendus dans des occasions essencielles, de sorte que maintenant, digne et vertueuse mere de famille, elle me doit peut-être sa raison, son mari, sa vie et son bonheur. De mon côté je lui dois des consolations très douces, et surtout durant un bien triste hiver où dans le fort de mes maux et de mes peines elle venoit passer avec Therese et moi de longues soirées qu’elle savoit nous rendre bien courtes par l’agrément de son esprit et par les mutuels épanchemens de nos cœurs. Elle m’appelloit son papa, je l’appellois ma fille, et ces noms que nous nous donnons encore ne cesseront point, je l’espere de lui être aussi chers qu’à moi. Pour rendre mes lacets bons à quelque chose j’en faisois présent à mes jeunes amies à leur mariage à condition qu’elles nourriroient leurs enfans […]. »


« Mademoiselle d’Ivernois, Môtiers, 1763, le lacet ». Copie d’écran de notre CD-ROM Flora Petrinsularis, 1993-1994, publié dans Artintact 1, ZKM/Cantz, 1994.

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