Dispositif

Vous consultez actuellement les archives pour le thème Dispositif.


Vendredi 10 juin 2011, 10h15, RATP ligne 8, station Charenton-Écoles. Le iPad : comme ardoise, c’est la base d’un enseignement; comme terminal de tous les réseaux, c’est une source de folie.
Voir : « La tablette de l’écolier Papnoution », 13 août 2010, http://jlggb.net/blog2/?p=2989.
Et aussi : « Ardoise magique », 13 juillet 2010, http://jlggb.net/blog2/?p=2845.

Mots clés : ,




Jeudi 2 juin 2011, 20h, Gaîté Lyrique, Paris 3e. En avant-première, le projet open source biologique d’un collectif d’artistes indonésiens.

Partant d’un fait de société, la prohibition de l’alcool en Indonésie et les production frelatées qui en résultent, les membres de HONF se sont intéressés au développement d’une technologie de fermentation stable et libre, qui permettrait une autoproduction saine, à l’aide d’une nouvelle souche de levure et à partir de divers fruits.
Le projet IB:SC («Intelligent Bacteria : Saccharomyces Cerevisiae») est issu d’un programme de recherche arts-sciences entre le médialab HONF de Yogyakarta et des chercheurs de l’université de Gajah Mada (UGM). Explorant les champs de la microbiologie et des biotechnologies, l’enjeu est de jeter des ponts entre les disciplines pratiques et théoriques, et de produire des innovations à partir d’infrastructures génériques et de technologies «abordables», c’est-à-dire des solutions open source. Togar, Timbil et Akbar produisent une nouvelle installation au cours de cette résidence, l’occasion de développer leurs connaissances sur cette levure mais aussi de partager le processus qui aboutira, évidemment, à une dégustation.
http://www.natural-fiber.com/

Mots clés : ,


Samedi 28 mai 2011, 15h, Inha, passage Vivienne, Paris 2e. En projet pour être présenté au Temple Daikakuji à Kyoto du 27 juin au 17 juillet 2011 dans l’exposition Out of Space, un « dispositif performatif » pour deux iPad2 qui s’inspire du Sutra du Cœur, dont l’un des exemplaires les plus précieux est conservé dans ce temple. Simulation avec Akiko O. de l’attitude escomptée d’un spectateur « pratiquant » : il porte le iPdad à la hauteur de son visage et lit à haute voix le texte qui alors s’affiche.


L’image du (de la) pratiquant(e), telle qu’elle s’affiche en direct (avec le son de sa voix) sur le iPad placé à l’entrée de la salle.

Voir : « Au Temple Daikakuji de Kyoto », 6 février 2011.

Mots clés : , ,


Samedi 7 mai 2011, 19h, galerie Yvon Lambert, Paris, 3e. Douglas Gordon (1966, Glasgow, vit et travaille à Berlin), Phantom, 2011, projections vidéo sur un écran biface (environ 6 x 3 m), estrade de planches brutes, un piano Steinway, un deuxième piano brulé, un miroir. L’œil est celui du chanteur Rufus Wainwright dont la voix est entendue dans l’installation. (Photo jlggb à ne pas utiliser sans autorisation) — Voir : http://www.yvon-lambert.com/Phantom-E219.html. Et aussi : http://lostbutfound.co.uk/

Mots clés : , ,



Samedi 2 avril 2011, 10h45, esplanade du lac, Aix-les-Bains. Le dispositif de recto verso est une imitation du champ-contrechamp cinématographique (voir « Recto-verso » du 08.03.2011) et une contrefaçon acceptable du panorama. Ou encore : carte postale sans verso, sans adresse ni correspondance.

Mots clés : ,


Mardi 15 mars 2011, 16h. Galerie La Tapisserie, 14 rue Petion, Paris 11e. Montage de l’installation C’est elle ! C’est bien elle ! pour l’exposition Captures (vernissage jeudi 17 mars). Étagère métallique Muji, ordinateur MacMini, écran Apple Cinema 23 pouces. Programme KeyNote, 3mn, copies d’écrans Google Street View, de billets du blog jlggbblog. Cette proposition est directement dérivée de deux billets de ce blog. Qu’est-ce qui me pousse à « retourner sur le lieu » du premier billet ? Comment de multiples références éparses trouvent alors un agencement.
« Signalétique », 5 décembre 2009 : http://jlggb.net/blog2/?p=51
« Signalétique : une suite qui fait peur », 6 décembre 2009 : http://jlggb.net/blog2/?p=101
L’épilogue fait référence à l’article : http://jlggb.net/blog/?p=316

Transcription du texte qui s’affiche dans le KeyNote :

C’est elle ! C’est bien elle !
Ceci est l’histoire d’une coïncidence troublante.

Premier jour
LE VOLTIGEUR
Samedi 5 décembre 2009, vers 17h.
Au bar Le Voltigeur, 45 rue Francs Bourgeois, Paris, 4e.
Parce qu’elle est en caractère Vendôme, son enseigne m’intéresse depuis longtemps.
Cette enseigne intérieure aussi, m’intéresse.
Ce café se trouve face au Centre culturel Suisse.
Endroit marqué, fin 2004, par l’intervention subversive de Thomas Hirschhorn (Swiss Swiss Democracy) avec un environnement de ruban adhésif brun que l’on nomme depuis « du hirschhorn ».
C’est ce que je note dans glggbblog2 le jour-même.
Mais surtout, peut-être, je me souviens avoir vu là,
à la terrasse, il y a des années, l’actrice Dominique Laffin, peu de temps avant sa mort.

Deuxième jour
RETOUR SUR LE LIEU
Dimanche 6 décembre 2009.
Pour compléter le billet d’hier, retour sur Street View avec cette fois l’adresse du Centre culturel suisse,
32 rue des Francs-Bourgeois, Paris, 3e.
Une vue du Centre sera utile pour démontrer le caractère « stratégique » du carrefour rue des Francs-Bourgeois – rue des Hospitalières Saint-Gervais.
On trouve à ce carrefour la silhouette d’un homme en noir qui, précisément, semble photographier l’entrée du Centre culturel (à moins qu’il téléphone).
Mais, venant vers lui, c’est une figure familière qui me saute aux yeux : voici donc ce qui m’a poussé à revenir sur ce lieu.
« C’est elle. C’est bien elle ! »
« Oui ! C’est L., c’est bien L. ! »
Le « photographe » et une autre personne à deux pas ont regardé l’étrange caméra multi-objectifs perchée sur la voiture Google, mais pas L.
Le plus surprenant : toute cette histoire était déjà dans la photographie Street View publiée la veille.

Épilogue
IDENTIFICATION DU JOUR
Voyant les chaussures que porte L., je me souviens de ce jour où elle était sortie en gardant ses chaussures d’intérieur.
C’était le samedi 24 mai 2008 vers midi. Il faisait chaud.
Elle allait vers Beaubourg où G., S. et moi avions une table ronde au Web Flash Festival, sur le « jouable ».


Reproduction du diaporama, cliquer ici : ELLE-CAPTURES puis cliquer sur l’image pour avancer.

Mots clés : , ,

Dimanche 13 mars 2011, 15h-16h, Musée national d’art moderne, Centre Pompidou. Exposition François Morellet, « Réinstallations ».


Deux trames de tirets 0°-90° avec participation du spectateur, 1971.



La Joconde déformée, 1964. Projection d’une diapositive sur un rideau, ventilateur actionné par le spectateur.


Strip-teasing, 2009.


Géométree n°5, Arcs de cercles complémentaires, 1983


Neons by Accident, 2003.


No End Neon, 1990.


L’Avalanche, 1996.


Sobrino, De Vecchi, Stein, Boriani, Colombo, Morellet, Massironi, Le Parc, Mari, membres du GRAV, du Groupe T ou du Groupe N, devant la Maison de la culture de Grenoble, avril 1968, à l’occasion de l’exposition Cinétisme, Spectacle, Environnement, conçue par Frank Popper. (Collection JLggB)

Note : J’ai suivi l’œuvre de François Morellet depuis la rencontre à Grenoble en 1968 (dans le collectif GRAV, pour Cinétisme-Spectacle-Environnement). Je me suis beaucoup intéressé à ses « Geometrees » en 1985.


François Morellet, Geometree, Abbaye royale de Fontevraud, 1985-1986. (Collection JLggB)

À voir : sur Arte « L’art et la manière » consacré à François Morellet http://videos.arte.tv/fr/videos/l_art_la_maniere-3800794.html
_

Dossier « Cinétisme »

 

Mots clés : , , ,


Vendredi 11 février 2011, 10h30-12h30. Tokyo, National Art Center, 14th Japan Media Arts Festival. Des spectateurs du film d’animation The Wonder Hospital de Beomsik Shimbe Shim (Corée).


Zach Lieberman, Evan Roth, James Powderly, Theo Watson, Chris Sugrue, Tony Tempt1, The Eyewriter, installation participative qui permet de tracer des lignes (des tags) avec le regard.

Mots clés : ,


Mercredi 9 février 2011, 11h45. Nagoya, Design Center, workshop « Écrans mobiles » pour l’Université des arts. Portraits photographiques pour une expérience de substitution interactive.

Mots clés :


Lundi 6 décembre 2010, 17h. Au Palais de la découverte (Grand Palais à Paris), ce qu’il en reste, très peu, des démonstrations avec appareils qui faisaient son charme. Ici, un « carillon électrostatique  » de 12 000 volts, qui met en jeu la proximité initiale de la boule du plateau de gauche pour établir un va-et-vient de cette boule.

Mots clés : , ,

‹ Articles plus anciensArticles plus récents ›