Géographie


Mercredi 15 juin 2010, 16h, passage du Rhône, vu du train TER de Genève vers Aix-les-Bains. Les glaciers ont bien fait les choses, pour l’étendue du paysage et pour que le Rhône ne fasse qu’approcher le Lac du Bourget et ses marécages. La Chautagne, — dont on devrait reparler — dans le fond, y devient rhodanienne par sa proximité avec un fleuve tourné vers le midi et la Méditerranée. Il paraît que le glacier d’Aix-les-Bains descendait par la « vallée de l’Isère », Grenoble, Vinay, jusqu’à Loriol, là où coule aujourd’hui un Rhône Nord-Sud. Une façon de dire que la Chautagne — et le Genevois — sont l’amont de chez moi.