Vendredi 17 mai 2019, 21h30, rue Viollet-le-Duc, Montmartre, Paris, 18e. La nuit tombe mais électricité ne s’éclaire pas. Devanture ancienne, peut-être périmée, mais bel objet typographique, à rapprocher de celui-là : http://jlggb.net/blog6/2019/05/08/3185/
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Mercredi 8 mai 2019, 20h45, rue Mirebeau, Bourges. Exemplaire, comme on n’en fait plus : l’enseigne n’est pas ajoutée, elle fait relief et organise la vitrine, avec la qualité historique de sa typographie et la subtilité de ses couleurs.
Mardi 15 janvier 2019, 13h30, Guilford street, Russel Square, Londres. Il y a peut-être 25 ans, nous avions logé dans l’hôtel Celtic, très modeste, mais bien placé, comme on dit. L’enseigne plusieurs fois repeinte a attiré à plusieurs reprises notre attention et nos souvenirs. Aujourd’hui de nouveau, avec cette jonction tellement parlante entre des briques rangées faisant support et une typographie « gothic » réclamant une surface blanche et lisse.
Mardi 9 octobre 2018, 20h, rue de Gramont, Paris 2e. Après avoir souvent enregistré les enseignes « historiques » coiffure, coiffeur, etc., marquées par la typographie échevelée de leur double f, on en viendrait, mais ce serait inépuisable, aux jeux de mots sur tif. Ici, « raccourcir les cheveux » est une simple objectivité. Il existe sans doute : Admiratif…, Affirmatif…, Alternatif…, Créatif…, Émotif…, Fixatif…, Fugitif…, Répétitif…, etc. Le « suffixe adjectival » if, qui se plaît de ses inventaires [voir : https://fr.wiktionary.org/wiki/-if], est une source qui laisse penser que l’argot tifs ou tiffes, pour cheveux, a là son origine. Et il y aurait aussi hair, etc. Ce pourrait être une entrée poétique dans Street View : voir le paillasson et le reflet de l’auto Street View.