Lundi 31 juillet 2023, 15h30, Musée gallo-romain d’Aoste, Isère, « aux confins des départements de l’Ain et de la Savoie ». Un mérite de cette opération répétitive, du gobelet pris comme point d’intérêt, point de repère dans l’espace — et dans le temps –, est d’interroger les noms que l’on est conduit à écrire. Ainsi, Aoste est utilisé par une entreprise de cette commune, Groupe Aoste, marque commerciale espagnole puis mexicaine qui vend du porc, du jambon, en visant l’ambiguïté avec l’appellation d’origine du Val d’Aoste italien.
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Lundi 31 juillet 2023, 13h30, Le Pont de Beauvoisin, Isère. On entendait souvent ce nom, il y a plus de 50 ans. On n’y était jamais passé. Pour manger quelque chose et boire un café, on trouve, nouvellement ouverte, La Maison de la baguette : « Des pains de toutes sortes / Des viennoiseries / Des pâtisseries françaises et orientales / Des sandwichs / Des quiches, feuilletés au fromage, croque-monsieur / Des boissons ». La machine à café est Lavazza, les gobelets aussi, donc.
Mercredi 26 juillet, 15h, Musée des Confluences, Lyon. Où l’on constate que la géométrie « gobelet » s’accorde avec l’architecture Coop Himmelb(l)au et avec le design Konstantin Grcic.
Dimanche 23 juillet, 12h50, Monlési, district du Val-de-Travers, canton de Neuchâtel. Déjà, le 15 août 2007, sur les pas de Jean-Jacques Rousseau, nous avons connu un « retour à Monlési » : http://jlggb.net/blog/?p=4794
Dimanche 23 juillet 2023, 11h, Môtiers, Val-de-Travers. La cascade de Rousseau, avec sa grotte, n’a aujourd’hui que les traces du jaillissement de son eau. On sait que le temps du lendemain sera orageux, mais pas que la région, dont les villes de La Chaux-de-Fonds, Le Locle, vont connaître une tempête destructrice et mortelle.
Samedi 22 juillet 2023, 15h30, Musée des beaux-arts de La Chaux-de-Fonds. Steven Parrino, Bazooka, 1990, acrylique sur toile. On peut le voir arriver, ou s’échapper.
Samedi 22 juillet 2023, 14h30, Musée des beaux-arts de La Chaux-de-Fonds. Il a retrouvé ses couleurs historiques, son style. Mais les façades autour et dans le reste de la ville sont souvent devenues très vives, jaunes. Je préfère le souvenir des rues ordonnées, nettes et austères que j’ai connues au cours de l’hiver 1968-1969 (au TPR).