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Mardi 29 août 2023, 17h, rue des Pyrénées, Paris, 20e. La galerie 389 expose des peintures d’Étienne, dont ces deux tableaux carrés de la série « figuration sociale ».

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Mercredi 13 juillet 2023, 19h, Musée d’Orsay. Édouard Manet, Berthe Morisot au chapeau de deuil, 1874, Collection particulière, exposition Manet / Degas. Inconnue — elle fit partie de la collection de Degas —, plus impressionnante encore que Berthe Morisot au bouquet de violettes, 1872, vue depuis toujours au musée. Pas le sourire, pas exactement l’élégance, le regard, « peinture sidérante » a dit l’ami Jean-Philippe, grand connaisseur, dès la publication par moi aujourd’hui sur Instagram.

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Mercredi 13 juillet 2023, 18h30, Musée d’Orsay. Édouard Manet, Les Bulles de savon, 1867, détail, Lisbonne, Calouste Gulbenkian Museum, exposition Manet / Degas. Le mot application vient à l’esprit, avant de découvrir le reflet de l’application que le visiteur est invité à charger sur son écran portable. Le modèle, Léon, le fils de la sœur de Manet, est porté à s’appliquer dans son geste suspendu. L’attention et le soin que le peintre s’attache à inscrire dans son œuvre passent au demeurant par « l’action d’appliquer quelque chose, d’étendre une chose sur une autre pour qu’elle y adhère ».

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Lundi 3 juillet 2023, 20h, Paris. Étienne l’a faite en à peine une heure. Il fallait, pour rejoindre les objets de « Toutes les copies », dans l’exposition « Les Immatériaux » Aperçus d’une manifestation postmoderne — Espace des Collections film, vidéo, son et œuvres numériques, Musée, niveau 4, Centre Pompidou — une peinture qui parle de la peinture, entre conceptuel et ironie. Une première version figurait le décor, un mur, un trottoir. Pour mettre en évidence le motif, le fond est ici blanc, mais pas laissé comme simple support, peint lui aussi, abondamment. Il marque le rôle des instruments, le travail du peintre.

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Vendredi 3 février 2023, 15h, MABA (Maison d’Art Bernard Anthonioz), Nogent-sur-Marne. « Paris Peinture — Ici et Maintenant », Nicolas Chardon, Grille (Grids & Waffles), 33 x 24 cm, 2021. Le prolongement d’une série de peintures, dont des carrés noirs sur fond blancs, où le motif épouse la trame de la toile, ici un tissu à carreaux.

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Dimanche 18 décembre, 14h, Musée cantonales Beaux-Arts, Lausanne. Grande rétrospective de Lubaina Himid, Man in a Jumper Drawer, 2018, acrylique sur tiroir en bois et poignées de cuivre.

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Alice Neel


Mercredi 5 octobre 2022, 17h, MNAM Centre Pompidou. Les tout premiers portraits de cette grande exposition « Alice Neel, Un regard engagé », le jour de son ouverture, sont une série de quatre autoportraits au photomaton. Il y a deux sourires forcés, un regard de biais et un regard de face. Quand on s’est attaché à tant de ses portraits généreusement présents, vécus et aigus, que l’on a tenté de retenir en les photographiant, une minuscule image d’elle semble tout dire.

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Samedi 9 juillet 2022, 12h30, rue des Solitaires, Paris, 19e. Si le tag est spontanément rangé dans le Street Art, avec les graphes, la peinture abstraite en forme d’affiche relève de l’exercice d’étudiant en art. Les deux catégories sont pourtant mêlées et peuvent s’échanger. Ici elles sont proches dans la même rue, dans des circonstances activistes semblables et par la valeur sûre et stéréotypée de l’énigmatique.

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Vendredi 22 avril 2022, 14h40, Musée Carnavalet, Paris. Léonard Fujita, Intérieur d’un café, huile sur toile, 1958. Si le Musée Carnavalet s’intitule Histoire de Paris, ce n’est pas grâce à une documentation construite et commentée. Ici, les personnages, leurs attitudes, les accessoires et peut-être plus encore le ton éclairé, détaillé, la mise à plat par le dessin parle des années cinquante, jusqu’à provoquer des similitudes avec le milieu « bobo-intello » qui prévaut aujourd’hui dans l’est parisien.

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Vendredi 11 mars 2022, 20h, Mac Val, Vitry. Sylvie Fanchon a réalisé une peinture murale selon ce processus : sur un fond peint uniformément de beige rosé est appliqué un ensemble de bandes de ruban adhésif coupées en les déchirant ; l’ensemble est peint en noir puis les bandes sont arrachées. Le motif de lignes obliques, « ce rose chair poudré renvoie à la féminité et à ses attributs, tels que le fond de teint, le fard et les bas de soie. Le motif peut évoquer le soin apporté aux cicatrices, aux blessures intimes et identitaires. En Occident, les sages-femmes furent les premières femmes à pratiquer la médecine, notamment au service du peuple paysan. Du 14e au 17e siècle, durant la transition entre le régime féodal et la modernité, les sages-femmes et les guérisseuses furent bannies des écoles officielles de médecine en raison de leur genre et persécutées pour leurs connaissances et leur pouvoir. La majorité d’entre elles furent victimes des chasses aux sorcières. » La citation vient du cartel : Sylvie Fanchon, 1953, Sagesfemmes, 2017-2021, Acrylique, Inventaire n° 2019-2361, Don de l’artiste.

Sur la gauche est inscrit « Sages-femmes »

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