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Jeudi 30 août 2019, 16h50, Tence, Haute Loire. Tence est une destination ancienne. Ce furent des vacances en famille l’été 1951, au village de Mendigoules, voir le 9 juillet 2009 : http://jlggb.net/blog/?p=4299. On sait maintenant que nous eûmes là des ancêtres. Mais, ce qui nous amène depuis la vallée du Rhône, c’est le nom de Gilbert Simondon que nous savons attaché à Tence. On a entendu que la maison de son grand-père était pour lui un ancrage dans la nature et dans l’enfance et qu’elle était restée la maison de sa famille. Un jeune homme, rencontré à la mairie, nous dit qu’en face de chez sa grand-mère, dans le hameau de Mazeaux, elle a des volets « bleu charrette ». La pensée de Simondon est un monde immense et étrange, où connaître une effervescence de mots et d’idées et goûter la compréhension. La forme, la relation, mots dont j’ai usé, sont chez Gilbert Simondon des « nœuds » d’un réseau qu’il annonce très tôt comme une réalité techno-scientifique propre à émerger en philosophie et en art. Lorsque j’ai cherché sur Google « Simondon » et « Tence », c’est « existence » qui est venu, celle du grand livre, touché et entendu cité, lu indirectement, depuis quarante ans : Du mode d’existence des objets techniques.
À lire, sa biographie par Nathalie Simondon : http://gilbert.simondon.fr/content/biographie. À écouter : https://www.franceculture.fr/emissions/avoir-raison-avec/avoir-raison-avec-gilbert-simondon

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Dimanche 16 juin 2019, 13h30, Tournon, Ardèche. Lorsqu’on s’arrête à Tournon, on peut penser au malheureux jeune professeur d’anglais Mallarmé mais on voit forcément sur le quai la plaque de sa maison, en bordure du mur du château.

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Vendredi 12 octobre 2018, 19h, boulevard Henri Barbusse, Montreuil-sous-Bois. Alors que je monte la pente, une façade en chantier se fait remarquer.

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Vendredi 1er juin 2018, midi, avenue Christophe Colomb, Montréal. Les amis, les collègues, les Français, disent habiter ou vouloir habiter Le Plateau, ce quartier d’ouvriers et d’immigrés, aujourd’hui largement gentrifié. À la fin du XIXe siècle, les autorités obligent à conserver une bande plantée devant les maisons, qui va inciter à sortir les escaliers.

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