Vendredi 17 novembre 2017, 13h, Avenue de Taillebourg, Paris 11e. En passant, un parterre planté, encadré du béton des années 70, d’un vert prenant.
Étiquette : vert
Sous les noyers
Samedi 27 octobre 2017, 14h30, Vinay, Isère. Sur le chemin après le cimetière.
L’une plutôt que l’autre
Jeudi 28 septembre, 15h, chemin des Biatres, Aix-les-Bains. Couleurs de l’automne : d’un côté de la rue, une propriété clôturée de haies de pyracanthas ; de l’autre un terrain plutôt vague dont la profondeur du sous-bois est ponctuée de petites asters.
Le vert et son modèle
Jeudi 28 septembre 2017, 15h — 17h30, boulevard du Port aux filles, chemin des Teppes, Aix-les-Bains. La salade qui pousse fait le lopin de maraîcher ; la ligne blanche sur le gazon artificiel fait le terrain de foot.
Mégalitisme
Lundi 24 juillet 2017, 14h, forêt de Floranges, Camors, Morbihan. À l’écart des menhirs de Kernevec, un mégalithe découvert dans l’ombre des arbres, renflé, probablement couché, d’au moins six mètres de circonférence.
À la plage
Samedi 1er juillet 2017, 13h30. À Brison-Saint-Innocent, la Pointe de l’Ardre, sur le lac du Bourget, fait passer des verts des arbres aux verts des eaux. Ici, la nageuse sera la seule de la journée.
Feuillage de nuit
Mercredi 10 mai 2017, 22h, boulevard Victor Hugo, Nice. La rue est en travaux et un étroit passage sécurisé — bien éclairé — est arrangé.
Dehors et dedans
Vendredi 5 mai 2017, 17h — 18h, Théâtre du Rond-Point, Paris 8e. Voisines, devant la porte, dans la cafétéria, deux choses opposées, vivantes et inertes, biologiques et géométriques. Portées par la lumière et la couleur, elles sont complémentaires.
Aralia, suite
Samedi 29 avril 2017, 17h, jardin intérieur du Petit Palais. Une habitude se prend, enregistrer l’intensité ubiquitaire de lumière verte de l’aralia ; associée ici à celle de l’euphorbe. Voir : http://jlggb.net/blog5/?p=408 ; http://jlggb.net/blog5/?p=1775
L’euphorbe et ses cyates
Mardi 11 avril 2017, 16h30, parc de Bercy. Dans cette partie qui fait jardin d’agrément, un ensemble d’euphorbes des garrigues, aux verts toujours surprenants et toxiques. La fleur sans ni sépales ni pétales est une coupelle, cyathe (cyathium, kyathos, petit vase grec pour puiser et verser).