Se traduire (Ch. 155)


Lundi 8 avril 2024, 19h, Paris. Le couteau est venu du Japon par M. Fukushima Koji, dont le stand de brocanteur est très apprécié. Pas cher du tout parce que petit et ordinaire, caché parmi des lames autrement plus puissantes et exotiques. À la maison, il se laisse photographier. Et alors, c’est notre époque, son nom, élégamment inscrit sur l’acier, s’offre traduit, en surimpression : « Forgeron Kanemori ». On en saura peut-être plus.