Sur mon étagère : une femme et un enfant en figurine


Mardi 27 décembre 2011, 0h50. Sur mon étagère, il y a, « depuis toujours », une figurine qui habitait un quai de gare ou un wagon d’un train mécanique ou électrique de la marque Hornby. Achetée au début des années 50, elle faisait partie d’une boîte Hornby de sujets en matière plastique qui reprenaient — on apprend cela aujourd’hui sur Internet de la part des nombreux nostalgiques et collectionneurs, ou encore des vendeurs sur e-Bay, de ma génération, qui croient posséder des trésors — des modèles précédents en aluminium que j’ai vus lors de ma récente visite de l’exposition du Grand Palais, « Des jouets et des hommes ». Autre chose : je m’étais efforcé, au cours d’une série de photos entreprise à Noël 1967 à Marseille et poursuivie jusque dans les années 80 et au-delà, sous le titre : Marseille, jamais que pour ça — voir : 31 décembre 2007, http://jlggb.net/blog/?p=177, de placer cette femme et cet enfant avec bagages, cette dame et ce garçon, cette mère et son fils, dans la photo d’une sculpture allégorique du grand escalier de la gare Saint-Charles où ma mère, ma sœur et moi avions été pris en photo par mon père en 1951, lors d’un premier voyage à Marseille, le premier grand déplacement en train. Remarque : l’image de la trotteuse du réveil indique que le temps de pose a été de 8 secondes.



Marseille, escalier de la gare Saint-Charles en 1951 et le 31 décembre 2007 (la figurine se trouve véritablement posée là, ce n’est pas un montage).

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