Personnes

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Venise, samedi 8 juin 2013, 10h, Zitelle, Giudecca; 11h, pavillon allemand de la Biennale; dimanche 9 juin, 15h, église Sant’Antonin.
Straight, 2012, est composée de barres d’acier extraites du béton des « constructions en tofu » des écoles qui virent la mort de milliers d’élèves dans le tremblement de terre du Sichuan en 2008, longuement redressées dans un atelier organisé à Pékin par Ai Weiwei. Bang, 2013, est l’assemblage prolifèrent de 886 tabourets fabriqués spécialement selon un mode traditionnel chinois en voie de disparition; SACRED (pour Supper, Accuser, Cleansing, Ritual, Entropy et Doubt) est un ensemble de six chambres en acier qui poussent les visiteurs à voir, par de petites ouvertures, des scènes, dans le style du « réalisme révolutionnaire », de la détention de Ai Weiwei, au secret pendant 81 jours en 2011.

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Vendredi 7 juin 2013, 15h30, Venise, La Biennale, Arsenal. Learning from that Person’s Work, 2005, est une installation en forme de labyrinthe de Matt Mullican, formée par une simple structure de bois, 84 draps de coton portant chacun 9 dessins sur papier. Il s’agit de révéler le modus operandi de « That Person », la personne qui résulte de l’artiste en transe hypnotique.
On suit depuis longtemps Matt Mullican, par exemple ici : http://jlggb.net/blog3/?p=4114.

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Lundi 25 mars 2013, 23h30 — mardi 26 mars, 5h45. Traversant la Seine au point du jour dans un froid glacial, sur un pont d’Austerlitz désert, j’ai l’impression de m’évader.

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Jeudi 21 mars 2013, 19h45, Salon du livre, Parc des expositions de la Porte de Versailles, Paris. Soirée d’inauguration, avec le Président de la République, accompagné, à sa gauche sur la photo, par Vincent Montagne, président du Syndicat national des éditeurs, président du Salon du livre, Bertrand Morisset, commissaire général du Salon du livre et par la Ministre de la Culture, Aurélie Filippetti. L’homme qui est au centre est un officier de sécurité. On le reconnaît à son comportement, au fait qu’il ne sourit pas, au badge au revers de sa veste (comme deux autres). L’exposition de la Bibliothèque nationale de France, « Guy Debord. Un art de la guerre », est annoncée en ces termes : « Guy Debord fut avant tout le stratège d’une guerre de mouvement contre les faux-semblants de notre société ».

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Vendredi 8 mars 2013, 19h30, Centre culturel suisse, rue des Francs-Bourgeois, Paris 3e. Une pièce nouvelle de Fabrice Gygi (1965, Genève), important artiste genevois dont il est généralement dit qu’il développe une critique de la société de contrôle. En supplément une lecture étonnante et sans bavure par Gilles Furtwängler (1982, Lausanne).

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Samedi 19 janvier 2013. Ouvrant un album consacré à ma mère Emma Jullian, je retrouve ce beau portrait d’elle jeune fille et je pense que nous sommes dans l’année de son centenaire.

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Jeudi 27 décembre 2012, 18h30, Châtillon. Une suite au « Bébé au-dessus du Darty » du 6 décembre 2009 : la petite Édith, née le 15 décembre 2012. L’appartement ressemble au précédent mais n’est pas le même, près de deux fois plus grand, au premier étage, dans un bâtiment du même ensemble.




Dimanche 2 décembre 2012, 15h, Place Clichy, Paris (à la rencontre des 8e, 9e, 17e et 18e arrondissements). Sous la double influence de l’exposition de Paul Graham et d’un soleil bas très vif, un essai de notation photographique qui met l’accent sur un court moment dans un lieu particulier (comme presque toujours en photo), mais dans les mouvements combinés des passants et de l’appareil, avec en prime l’éclat dans l’objectif, pour l’effet de distanciation.

Ligne 13


Vendredi 30 novembre 2012, 14h20, métro ligne 13, vers La Fourche. De retour de Paris 8 et de la soutenance de doctorat de Rozenn C. — « Ambiance versus ambiente. Essai d’une généalogie en art, architecture et design » —, je remarque ce garçon très très grand, dont les cheveux en brosse essuient le plafond du wagon. Ce post termine la 5e année de jlggbblog.





Jeudi 1er novembre 2012, 19h20, Cité de l’architecture, Palais de Chaillot, Paris. Chacun sa maison est le titre de l’exposition de ses 17 projets de maisons et ateliers que Paul Chemetov reprend d’un livre-jeu de son père, le dessinateur Chem, publié par les Albums du Père Castor en 1933. On connaît Chemetov (né en 1928) pour ses aménagements de quartiers et ses bâtiments institutionnels. On découvre là un travail sensible d’apparence modeste. Son petit « mazet » (2007-2009) de Labeaume, dans l’Ardèche, est une réhabilitation qui ne touche pas aux murs de pierres sèches en leur ajoutant un toit métallique, une boîte en tôle d’acier galvanisé et une boîte en contreplaqué de peuplier. C’est une manière de « cabanon » de Le Corbusier. La « maison Ohana » (2006-2009), à Asilah, au sud de Tanger, au bord de l’Atlantique, se déploie en terrasses et en jardins autour d’un olivier centenaire. Ce sont ses maîtres d’ouvrage, Esther et René Ohana (opticien rue du Pas de la Mule, près de la place des Vosges à Paris — voir « Où la musique rivalise avec l’optique » du 8 juin 2012 : http://jlggb.net/blog3/?p=2671) qui nous ont invités à voir l’exposition. La « maison Rebérioux », que voulait faire construire dans le Haut-Jura le fils de Madeleine Rebérioux (grande historienne et militante que nous avons connue à Paris 8), est restée à l’état de maquette.

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