Jeudi 3 janvier 2013, 09:07 — 09:22, atterrissage à l’aéroport de Phnom Penh.
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Jeudi 19 juillet 2012, plage de Cayeux, département de la Somme. clichés à : 12h 38mn 13s; 12h 38mn 16s; 12h 38mn 19s. Passés ici juste avant le rendez-vous où il sera question du projet d’exposition « Leurs lumières » au Centre culturel de rencontres de l’Abbaye de Saint-Riquier — Baie de Somme. Le vent est fort, les vagues sont hautes, la lumière change très vite.
Mercredi 4 juillet 2012, 14h30, allée Buffon du Jardin des Plantes, Paris, 5e. On a a vu les platanes, le 22 février, comme figure du « chaos et de l’ordre ». Aujourd’hui, c’est la figure d’une perspective à la Watteau qui s’impose.
Vendredi 1er juin 2012, 22h, Le Fresnoy, Tourcoing, inauguration de l’exposition Panorama 14, « Élasticités », des travaux des étudiants et professeurs. Trois heures de car pour y aller, autant pour le retour. La pièce la plus intéressante : Horizons des événements, 2012, de Maya Da-Rin (1979, Rio de Janeiro). Nous sommes à Marseille. La projection montre l’artiste qui s’éloigne dans le paysage, on entend ce qu’elle entend. Puis on la perd de vue lorsqu’elle s’enfonce dans le dédale de la ville, mais on écoute toujours au plus près d’elle-même, ses pas, les conversations et remarques des passants, les bruits de la rue. La caméra restera en son point élevé, mais elle va bouger, d’un mouvement mécanique, informatique, par petites corrections successives car elle reçoit par radio les coordonnées de la promeneuse et se recale constamment dans sa direction. Ces coordonnées terrestres s’affichent sur le sol, entre le grand écran et nous. On voit que l’altitude diminue : elle descend jusqu’à la mer. La vidéo surveillance est condamnée à la fixité — et à l’opacité — comme le sont généralement les panoramas. Le son — l’écoute — est fondamentalement mobile. Notre esprit, notre attention — et notre faculté d’imaginer — s’accrochent à lui.
Dimanche 13 mai 2012. Nous prenons le car spécial au Châtelet à 13h30 et nous arrivons au parc et château de Chamarande (Essonne : http://chamarande.essonne.fr/), à environ 45 km, vers 14h30. C’est pour y voir l’exposition d’œuvres contemporaines qui ouvre aujourd’hui. Le parc est très grand et agréable. La lumière et la verdure sont très vives. Les pièces sont très moyennes (la photo sur herbe, quand même, ci-dessus) mais nous retrouvons pas mal d’amis — Béatrice et Yann, Helen et Heiko, Anne et David, Katrin, Stéphane et d’autres. Il me faut repartir à 17h09 (photo) par la gare RER de Chamarande, qui se trouve très proche, pour un rendez-vous au café Beaubourg à 18h15 avec Gwenola, Tania et Roberto. À 18h07, sortant de la gare RER Notre-Dame, je passe par le pont Saint-Michel (photo) où, là aussi, je suis frappé par l’extrême luminosité du décor — et l’affluence des promeneurs.