Jeudi 15 juillet 2010, 16h-17h, Musée national d’art moderne, Paris. Exposition Étienne-Martin. Je n’aimais pas beaucoup les sculptures volumineuses en bois : trop près de la matière. Mais Le Manteau (1962, l’année de mon bac) est une pièce emblématique et superbe. C’est l’une des « Demeures ». Très intéressante, la série des diagrammes tracés au feutre pour extraire, des souvenirs de la maison natale à Loriol, des répartitions spatiales et temporelles (ici : Sans titre, 1975-1992, feutres de couleur et encre sur papier, 74,8 x 110 cm, collection du Centre Pompidou). Le « Cahier rouge » associe ses œuvres à des épisodes de sa vie entre 1913 et 1960. C’est là que les coïncidences se précisent : Loriol est mon pays natal, 1913 est l’année de naissance de mes parents.
Et cette « Classe de dessin » d’Étienne-Martin au Lycée (Émile Loubet) de Valence a été la mienne de 1955 à 1962 (ici au début du siècle).