Exposition

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Mercredi 19 mai 2011, 19h30-21h, impasse de la Défense (Avenue de Clichy), Paris 18e. Pré-vernissage au BAL de l’exposition Tokyo-e, trois photographes japonais, Yukichi Watabe, Yutaka Takanashi, Keizo Kitajima. De ce denier, une série étonnante de portraits (exécutés probablement sans cadrage visuel, « caméra à la hanche »), qui font écho pour moi aux meilleures photographies de Walker Evans, mais certainement plus violentes. Des « zombies » tels qu’un Japonais marqué par l’après-guerre peut les avoir repérés — au delà de toute recherche d’identité, et donc aux antipodes d’un August Sander — dans le Berlin des années 80.


Keizo Kitajima (北島 敬三), Septembre 1983 Berlin Est; Mars 1984 Budapest; Septembre 1983 Berlin. Photos reproduites dans l’exposition et légèrement recadrées. (dr)

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Samedi 14 mai 2011, 22h, Musée du Quai Branly, exposition permanente. Statuette protectrice nkisi, population Kongo, Congo, 19e – 20e siècle, bois, métal, matières organiques, pigments. À vérifier, son efficacité contre le surmenage et autres tensions morales.

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Samedi 14 mai 2011, 21h30, musée du quai Branly, exposition Dogon. Figure féminine, Falaise sud, XVe-XVIIe, bois dur patiné, collection Laura et James Ross, New York; Figure féminine tenant une pipe, 1750-1800, bois, New york, collection particulière; Figure féminine assise tenant une calebasse, falaise sud, XXe siècle et antérieur, bois patiné, fer, The Menil Collection, Houston.


Samedi 14 mai 2011, 21h40, musée du quai Branly. Peinture rupestre, fragment de l’auvent de Songo, avant 1931, Mission Dakar-Djibouti, 1931-1933, pigments, pierre, collection du musée du quai Branly.

L’art des Dogon du Mali est l’un des plus connus parmi les œuvres issues des cultures d’Afrique. Outre les chefs-d’œuvre qui ont fait la renommée de l’art dogon, l’exposition présente des pièces cultuelles, ou même d’usage quotidien, qui évoquent les préoccupations métaphysiques et esthétiques des populations les ayant produites. Les typologies de ces objets, aux techniques virtuoses et variées, ont été rarement dévoilées en regard des grandes pièces de la statuaire. Plus de dix siècles d’histoire des peuplements, des influences artistiques et culturelles sont ainsi parcourus à travers un rassemblement unique de chefs-d’oeuvre incontournables et de pièces du quotidien inédites qui témoignent du peuplement progressif du pays dogon et de la richesse de sa diversité stylistique. (Site du musée)

Remarque : La Nuit des musées a attiré 11 000 personnes au quai Branly ce samedi 14 mai 2011.

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Samedi 14 mai 2011, 16h-17h, Grand Palais, Paris. Anish Kapoor, Leviathan, pour Monumenta, 4e édition, 2011. On est dans la matrice, et parfois le soleil se cache. Puis on en sort pour se trouver dans le Grand Palais envahi par une forme gonflée, tendue et gigantesque. Anish Kapoor dit : « Un seul objet, une seule forme, une seule couleur ».

Anish Kapoor a décidé de dédier son œuvre à l’artiste chinois Ai Weiwei, détenu au secret en Chine, jugeant « inacceptables » son arrestation et sa disparition. Il ne le connaît pas personnellement mais estime qu’il a un devoir de solidarité avec son collègue chinois.

Voir « Liberté pour Ai Weiwei » : http://jlggb.net/blog2/?p=4770

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Samedi 7 mai 2011, 19h, galerie Yvon Lambert, Paris, 3e. Douglas Gordon (1966, Glasgow, vit et travaille à Berlin), Phantom, 2011, projections vidéo sur un écran biface (environ 6 x 3 m), estrade de planches brutes, un piano Steinway, un deuxième piano brulé, un miroir. L’œil est celui du chanteur Rufus Wainwright dont la voix est entendue dans l’installation. (Photo jlggb à ne pas utiliser sans autorisation) — Voir : http://www.yvon-lambert.com/Phantom-E219.html. Et aussi : http://lostbutfound.co.uk/

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Mardi 3 mai 2011, 17h. Dans la partie commerciale (showroom Cassina) de l’exposition Charlotte Perriand — De la photographie au design au Petit Palais, sur la table « Éventail », 1972 (édition 2004).

Charlotte Perriand, « Table « Éventail ». ©AChP_ADAGP2011

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Mardi 3 mai 2011, 15h. Petit Palais, Paris. Devant l’entrée, le « Refuge Tonneau » de Charlotte Perriand et Pierre Jeanneret, 1938. Non réalisé à l’époque de sa conception (la guerre), il a été construit d’après les dessins en 2010, dans le cadre d’un projet pédagogique. Il a été exposé à Alex, Haute-Savoie, pour la 3e biennale Acte des vallées de Thônes-Aravis, puis à l’École d’art d’Annecy en 2010-2011. Voir : http://www.acte-aravis.fr/index.php

De Charlotte Perriand, voir, au Centre Pompidou : « Demeures » : http://jlggb.net/blog2/?p=2907

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Lundi 25 avril 2011, 14h. Pour l’exposition Cinétisme, spectacle, environnement de la Maison de la culture de Grenoble (mai-juin 1968, commissaire : Frank Popper), je réalise une signalétique à base de photogrammes sur papier Agfa très mince (pour les arts graphiques), collés directement sur les murs peints en noir. Cette flèche fait 180 x 170 mm.
Voir : http://jlggb.net/blog2/?p=4452, http://jlggb.net/blog/?p=1013, http://jlggb.net/blog2/?p=846

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Mercredi 20 avril 2011, 17h, Genève. Au sous-sol, qui comporte des abris antiatomiques devenus vestiaire, atelier ou salle d’exposition, on aperçoit le « vert Mamco » qui est l’un des nombreux traits conservés de l’ancienne usine dont le Musée d’art moderne et contemporain a repris le bâtiment.

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Mardi 20 avril 2011, 15h-17h, Hôtel Sarkis, exposition sur les 4 étages du Mamco, Genève (textes repris du Vademecum remis aux visiteurs).


Sarkis, Pour la voix, 1978, 13 ampoules sur lesquelles sont dessinés des pictogrammes reproduisant des motifs créés par Lissitzky pour les poèmes de Maïakovski Pour la voix (1923). La sacoche ayant contenu les ampoules est posée au sol. 4e étage. Cette pièce figurait dans Electra, au Musée d’art moderne de la Ville de Paris, fin 1983-début 1984 (voir : http://jlggb.net/blog/?p=1895 et aussi : http://jlggb.net/blog/?p=1498).



Sarkis, Le défilé du siècle en fluo, avec les 11 vêtements et les 11 photographies des « 11 enfants de l’histoire du cinéma », 2000-2002 (parmi elles, l’enfant de Germania anno zero, 1947, de Roberto Rossellini), 3e étage.


Détail des murs peints de la salle 44, 2e étage.


Sarkis, Au commencement, le reflet, 21.01.2004, encre sur papier. 2e étage.



Sarkis, Suite Stalker (Tarkovski), 20.05.1999, film n°034, 156mn, 20s. et 40 aquarelles. Assis à une table, Sarkis regarde dans un petit moniteur le film de Tarkovski, Stalker (1979). Il dessine des scènes à l’aquarelle, en commençant par les dernières scènes pour remonter aux scènes du début. À un moment, deux scènes se croisent. 1er étage.


Détail de l’atelier où Sarkis vient travailler une ou deux fois par an, 1er étage.


Sarkis, Au commencement, la bibliothèque de Aby Warburg, 07.06.2007 (film n°125, 5mn, 1s.) — photo de l’écran vidéo. Un bol blanc rempli d’eau est posé à côté d’une photographie en noir et blanc de la bibliothèque d’Aby Warburg à Hambourg avant 1933. Son plafond est en verre circulaire. Un pinceau arrive et dépose des points d’aquarelle jaune dans l’eau. L’eau se transforme presque en lumière. 1er étage.

Voir :« Sarkis : éclair et tonnerre », 2009 : http://jlggb.net/blog/?p=5338
Le site personnel de Sarkis : http://www.sarkis.fr/

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