Mercredi 30 novembre 2011, 14h55, Paris Montagne Sainte-Geneviève. La Bibliothèque Sainte-Geneviève (Henri Labrouste, 1851, voir : ici). Le Panthéon (Jacques-Germain Soufflot, 1764-1790, voir : ici).
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Mardi 22 novembre 2011, 14h40, Saint-Denis, Université Paris 8. Quand l’Université a déménagé en 1980, il y avait ici un petit stade avec une piste et un terrain de football. Ces bâtiments ont été construits entre 2000 et 2010. Beau soleil pour un mois de novembre.
Samedi 19 novembre 2011, 16h, Paris 10e, à l’angle de la rue Bichat et de la rue du Faubourg du Temple. Le vide laissé par des maison récemment démolies, pour de futures constructions. La vue plus ancienne dans Google Street View.
Samedi 12 novembre 2011, 13h14, Aix-les-Bains, le golf. Sur la photo ancienne (ci-dessous), trois jeunes caddies avec, au centre, la tante de L., Phily, à l’age de 16 ans, en 1932.
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Au Golf Club d’Aix-les-Bains en 1932. Photo collection « les filles de Phily. Voir : http://lantb.net/uebersicht/?p=515
Jeudi 10 novembre 2011, 15h28, 15h37, la pente au dessus de Montmélian, Savoie : les vignes, le massif de la Chartreuse à l’horizon.
Lundi 31 octobre 2011, 9h20, Université nationale des arts de Taïwan, NTUA, bâtiment principal. L’annonce du workshop « À condition d’en sortir »*. La vue du 10e étage vers l’est.
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Voir Google Street View
Extraits du texte de présentation du workshop :
Les nouvelles technologies peuvent favoriser le renouvellement, voire la sortie des disciplines artistiques classiques. Cependant, elles tendent à un enfermement dans la technique pour elle-même et présentent donc un risque d’illusion de changement. Le partage entre sciences, art et philosophie ne relève pas d’une disciplinarisation mais d’une distinction nécessaire entre registres de la connaissance et de la subjectivité.
« À condition d’en sortir » signifie un rapport de l’art aux nouvelles technologies qui fait allusion aux expressions françaises du genre : « La logique mène à tout, à condition d’en sortir », « Le journalisme mène à tout, à condition d’en sortir », etc. Plutôt que d’un « art des nouveaux médias », ou, ce qui n’a pas vraiment de sens d’un « art numérique », on pourrait parler d’un art de l’époque des nouveaux médias, ou des conditions numériques. Il s’agit donc de dire ironiquement qu’il ne faut pas s’enfermer dans les nouveaux médias, tout en en tenant pleinement compte, car on ne peut pas envisager une création qui ne proposerait pas un renouvellement de ses techniques et de ses formes. L’invention d’instruments et de méthodes peut être vue comme relevant à part entière de l’art. D’une façon générale, « À condition d’en sortir » pointe la nécessité d’un dépassement, y compris de ce qui semble nous qualifier ou nous intéresser le plus.
Il ne s’agit pas à proprement parler d’interdisciplinarité et encore moins d’Art total. Les workshops entendent plutôt mettre en œuvre une liberté et une ouverture qui appellent des croisements intelligents et critiques. En ce sens, on pourrait viser une a-disciplinarité. De façon apparemment paradoxale, « en sortir » indique aussi des points de référence conscients — la tradition, la discipline, la technique —, dont le projet peut « se sortir », c’est-à-dire à la fois « faire avec », émerger et s’émanciper.
Vendredi 21 octobre 2011, 14h31, vue vers le sud depuis le train de Malmö à Copenhague passant sur le pont de l’Öresund.